Une rencontre imprévue (PV Serya)

Tom s'ennuyait. Franchement, il se retrouvait à Poudlard en 1976 alors que normalement il n'a pas à être là. En plus, on aurzit dit que dans cette année les élèves étaient complètements débiles. Comment pourrait il atteindre son but si il restait ici à écouter une prof qui avait l'air complètement défoncée! Elle était très bizarre. Tom l'inspecta de la tête aux pieds. Elle se comportait d'une étrange manière. En plus elle n'arrêtait pas de se gratter le bras qu'avait-elle donc? Tom aurait très bien pu utiliser le légilimencie sur cette femme, mais il n'en avait ni l'envie, ni le courage. Cela faisait maintenant 2 jours qu'il était arrivé ici et c'était la première fois qu'il l'avait. Elle ne ressemblait pas du tout au professeur d'enchentements qu'il avait il n'y a pas si longtemps. D'abord c'était un garçon, et puis il expliquait bien mieux, elle c'est un vrai charabias ce qu'elle raconte. Tom était certain qu'elle n'avait aucune autorité ou du moins très faible sur les élèves. Ca se voyait tout de suite. Ce n'était qu'une pauvre femme qui n'avait rien à faire là! Si elle elle comprenait ce qu'elle disait, ce serait un progrès fou!

Tom avait quand même prit un nouveau nom, au cas où un ou une petit malin le reconnaîtraît. Les seuls qui puissent le faire, c'était Dumbledore, Slughorn et Hagrid. Il fallait maintenant qu'il trouve un moyen pour ne pas se faire reconnaître. Il s'appelait Jordan Harrisson. C'est tout ce qu'il avait trouvé en 10 sec'. Je suis sûr que vous n'auriez pas fait mieux! Le bon côté deschoses c'est que Tom était toujours le même, c'est à dire glacial méchant et tout ce qui va avec, et qu'il avait conservé l'intégralité de ses pouvoirs.

La cloche sonna indiquant la fin du cours. Tout les élèves se ruèrent dehors. Seul Tom et le professeur demeurèrent encore dans la salle de cours. Il rengea lentement ses affaires ce qui avait tendance à ennuyer son professeur. Il ne se pressa pas pour autant. Soudain elle laissa tomber son gant, et Tom pu appercevoir une marque noir qui ressemblait à un tatouage. Elle se baissa automatiquement en laissant échapper quelques mots qui n'étaient pas Français. Tom reconnu immédiatement la langue. C'était du Fourchelang. Il la regarda avant de lui lancer gravement:

"Pardon?"

« Non, rien. Euh, Je parle couramment... ukrainien. »

Tom leva un sourcil. Il la dévisagea de la tête aux pieds, elle n'avait pas l'air très intelligente! Parler ukrainien... et puis quoi encore? Oser dire ça à l'héritier de Salazar Serpentard! Celui pour qui le fourchelang était sa deuxième langue maternelle! Il avait toujours été entouré de serpents en tous genres, en toutes formes. Elle osait lui dire une pareille ânnerie. Même si elle ignorait tout de son identité, il allait lui montrer ce que c'était le Fourchelang.

"De l'Ukrainien, vraiment?"

Il fallait d'abord rentrer dans son jeu pour lui faire croire qu'elle s'était écartée de tous soucis.

"Vous vous fichez de moi "professeur?" Il avait bien insisté sur le dernier mot histoire de lui rappeler sa situation désastreuse. Tom sentait qu'il allait bien s'amuser. Du moins c'est ce qu'il croyait mais il n'avait malheureusement aucun don prémonitoire pour échapper à ce qu'y allait suivre... Mais revenons à nos moutons.

"Vous savez c=je crois avoir déjà entendu cette langue quelque part. Voyons voir, il faut que j'arrive à me rappeler..."

Il fit mine de réfléchir pour angoisser un peu plus notre professeur. Puis il releva la tête avec un air satisfait.

"Ah oui! Ca y'est je m'en rappelle."Il continua le reste de sa réponse en fourchelang également.

"Vous ne savez pas à qui vous parler, alors évitez de me prendre pour un imbécil!" Il la regarda avec un regard mauvais et plein de haine, car il ne supportait pas être pris pour un imbécile!

Là ça devenait vraiment bizarre pour le professeur. De toute manière, comment Serya aurait deviné que ce garçon aussi parlait Fourchelang! Non mais c'est vrai! Et puis en plus il avait tout vu de sa marque des ténèbres. En fait, il devenait dangereux pour elle. Mais en même temps ce n'était encore qu'un enfant. Serya avait encore besoin d'y réfléchir.

Pour le moment il venait juste de lui voler toute sortie de secours... Sans parler qu'il luis avait sorti une de ces répliques dont il est difficile de se relever. Le tout en un Fourchelang parfait. Bon, le truc était de ne pas paniquer et de se rappeler que de toute façon, c'était encore elle la prof. Et ce, malgré les doutes assez évidents de cet élève la prenant un peu trop haut à son goût.

« Bon, OK, c'était peut-être pas de l'ukrainien mais il faudra que vous m'expliquiez comment diable vous savez parler cette langue pourtant peu commune! Ne me regardez pas comme ça, c'est justement parce que je vous connais que je me pose des questions. »

C'est vrai que c'était vraiment minable comme réponse mais sur le coup, rien n'était plus approprié. Une fois cette question « résolue », il fallait encore résoudre celle de l'éclat dans ces yeux. Le maître l'avait souvent regardé avec cet air mais là c'était un gosse! Si il avait eut un frère il lui aurait forcement dit. Au moins il était à Serpy mais si par le plus grand des hasards il avait eut un fils elle aurait été dans les premières au courant. Qui était ce type pour avoir le même regard.

« Dites moi encore une chose jeune homme, vous n'avez pas de frère ou un cousin assez proche? »

Il la regardait d'un air légèrement surpris où l'on pouvait voir de l'incompréhension. De toute évidence ce 'était pas ça.

« Bon, alors qui sont vos parents? Je ne les ai pas encore rencontrés et j'admets m'y intéresser d'assez près. »

[J'ai fait mieux mais je t'en pris, montre moi qui est le maître! ]

« Bon, OK, c'était peut-être pas de l'ukrainien mais il faudra que vous m'expliquiez comment diable vous savez parler cette langue pourtant peu commune! Ne me regardez pas comme ça, c'est justement parce que je vous connais que je me pose des questions. »

Il lui lança un regard blasé. Et il la regarda de haut en bas. C'ets quoi ces connerires? Non mais elle sort d'où elle? Elle a un sérieux problème cette fille.

"Premièrement, je n'ai rien à vous expliquer. C'est plutôt à vous de me le dire! Et deuxièmement, cela m'étonnerait que vous me connaissiez!"

Non mais c'est vrai! Comment pouvait-elle savoir qu'il était Tom Elvis Jedusor, descendant de Salazar Serpentard. La seule solution potable était la légilimencie. Mais il était bien trop doué occlumencie... Donc l'autre solution c'est qu'elle était complètement tarée! Voilà, ça ça tenait la route.

« Dites moi encore une chose jeune homme, vous n'avez pas de frère ou un cousin assez proche? »

Mais qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire à cette malade mentale?

"En quoi ça vous regarde? Non, je n'ai pas de frère, de cousin ou de je ne sais trop quoi... Il faut que vous vous fassiez soigner je pense..."

Elle commençait légèrement à l'énerver. La famille était un sujet très tabou chez lui.

« Bon, alors qui sont vos parents? Je ne les ai pas encore rencontrés et j'admets m'y intéresser d'assez près. »

Non mais là elle dépassait les bornes! C'est quoi cet interrogatoire? Ses yeux devenèrent encore un peu plus rouge.

"Mais qu'est-ce que ça peut vous faire? Comme si j'allais dévoiler ma vie à une vulgaire prof!Je vaux beaucoup mieux que ça!"

« Maître? Mais pourquoi... enfin, dans l'école c'est... et en plein jour... les élèves et les professeurs... Nous ne devions nous voir que ce soir. Mon rapport n'est pas assez important pour vous faire courir autant de risques. Même sous cette apparence ça reste... risqué. »

Le jeune homme la regarda déconcerté. Maître? Mais qu'est-ce qu'elle raconte? Un echose était sûre, cette femme était cinglée. Il fallait à tout prix la faire internée. Ca devenait urgent. Et il fallait aussi qu'il sorte de là le plus vite possible au cas où la situation dégénererait. Enfin si c'était déjà pas le cas. Il essaya de trouver quelque chose à dire pour pouvoir sortir de cette pièce. Le mieux était encore de partir comme ça, mais il ne savait pas de quoi cette énergumène était capable. Même si il n'avait pas grand chose à craindre mieux valait rester prudent. Il répondit donc de son ton éternellement froid et calme.

"Maître? C'est normal qu'il fasse jour, il est 10h du matin. Et oui c'est une école. Et dans les écoles il y a des élèves et des professeurs. Même si je ne sais pas pourquoi vous êtes là vous... Je ne me souviens pas vous avoir déjà vu. Donc on ne devait pas se voir ce soir. Quel rapport? Et c'est mon apparence normal. Donc je ne sais pas qui vous êtes ni ce que vous me voulez mais vous devez vous tromper."

« Même si je trouve un peu gros que vous veniez comme ça à l'improviste mais après tout, si vous y tenez. Euh... du coup... la réunion de ce soir est-elle maintenue? »

Mais elle s'obstine en plus! Il ne manquait plus que ça. Une folle! Il n'avait pas que ça à faire, mais elle semblait être certaine de ce qu'elle avançait. C'était toujours sur lui que tombait ce genre de situation.

"Comment ça à l'improviste? Mais quelle réunion. Je vous répète que c'est la première fois que je vous
vois."

« Bien, je ne doute pas que vous ayez une très bonne raison de venir maintenant et ici et mais permettez moi de me poser deux ou trois questions tout de même.»

Bien sûr qu'il avait une bonne raison, il avait cours! Des questions mùaintenant? Ba tiens, comme si il allait répondre. Comme si il allait juste les écouter.

"Bon pour la dernière fois, c'est normal que je suis ici, j'avais cours et non je ne permets pas à une folle de me poser des questions auxquelles je ne répondrais pas de toute façon. Et sur ce aurevoir."

Serya lui bloqua le passage et se posta devant lui. Sur le coup, le jeune homme crut qu'il était maudit.

« Puis-je savoir en quelle année sommes-nous et éventuellement qui êtes-vous? Bien entendu je veux dire: qui êtes-vous réellement. »

Alors là elle lui posait une colle. Qu'est-ce qu'il en savait? Certes il avait prit conscience de son petit voyage temporel mais il ne saivait pas du tout "quand" il avait attérit. Il essaya de réfléchir pour trouver un moyen de sortir de cette impasse et surtout échapper à cette folle. Il savait au moins une chose : il était dans le futur. Il avait brievement apperçu Dumbledore et il avait constaté que le temps ne l'avait pas épargner. Il évitait le viellard car il savait que le directeur de Poudlard savait qui il était puisqu'il le connaissait déjà avant. Et il ne voulait pas attirer l'attention sur lui. Slughorn non plus...

"Je ne suis pas très bon en repères chronologiques... Mais à tout cassé je dirais qu'on est en 1960?"

Dommage il s'était trompé de 16 ans... Mais de toute façon Serya était assez bête pourne rien avoir remarqué.

"Et en ce qui concerne mon identité vous savez déjà qui je suis... en fin mon faux nom. Mais vu votre intelligence je suppose que le nom de Tom Elvis Jedusor vous est inconnu. Je me trompe?"

Evidemment qu'il vait dit ça sur un ton arrogant et supérieure à l'extrême. Mais que voulez vous... Il n' a pas pû résister.

« Et bien, nous allons savoir tout de suite si vous vous êtes trompé. Tom Elvis Jedusor : élevé dans un orphelinat moldu à Londres jusqu'en 1937. Endroit propre mais miteux : une cour nue et un bâtiment carré, plutôt sinistre, entouré de hautes grilles. Mrs Cole en était la directrice. Elle semble se souvenir que c'était un drôle de bébé qui ne pleurait presque jamais et que, lorsqu'il s'est mis à grandir, il y a eu des "incidents" avec les autres enfants et animaux de l'orphelinat. Jedusor avait aussi la manie de voler des objets.
Aucun véritable ami, mais il forma les Mangemorts dans les dix années qui suivirent la fin de ses études à Poudlard. Tom Elvis Jedusor était et reste le dernier descendent de Salazar Serpentard. Malgré tout il a comme tout le monde de la famille légèrement plus proche que Serpentard. Son père était un moldu du même nom que lui. C'est la raison pour laquelle il a toujours détesté cet homme et tout ce qu'il représentait. C'est de sa mère, Merope Gaunt, qu'il tient son lien avec l'un des quatre fondateurs de Poudlard. Il a... ou avait... je ne sais plus mais il avait un oncle du côté maternel, Morfin Gaunt. Aujourd'hui, il est le plus grand mage noir et à la tête d'une armée de sorciers et autres créatures qui lui sont dévouées. Il est le seigneur des ténèbres, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, le maître. Ais-je bien appris ma leçon? »

Tom fut assez surpris il fallait l'admettre. Mais aussi curieux car Tom n'avait que 16 ans et il n'avait en aucun cas formé les Mange-truc ou autre chose qu'il sera censé faire. Il fit un sourire narquois avant de lui répondre :

"Oh bravo, vraiment... celà me prouve que vous n'êtes pas totalement inculte. Je vois que je me suis trompé sur vous. Enfin un minimum bien sûr je reste quand même le descendant du grand Salazar Serpentard comme vous l'avez si bien dit et mes jugements se révèmlent toujours exact. Mais je dois avouer que vous m'avez révélé une partie de mon avenir... Celà va avoir des répercussions vous en êtes consciente au moins?"

Il faisait exprès de lui parler calmement e avec des mots bien choisis naturellement. Elle le regardait satisfaite. Satisfaite de quoi? De lui avoir résumé sa vie? Ca tout le monde pouvait le faire. Il suffisait juste d'avoir un minimum de QI, et le professeur Sullivan semblait posséder vraiment le dtrict minimum.

« Oh, et pour la date, nous sommes en 1976 mais je ne suis pas sûre que cela est une grande importance maintenant. »

Il leva les yeux au ciel. Il s'en fichait de savoir en quelle année il était arrivé. Enfin si, ça pouvait toujours servir mais il était bien trop fier pour se l'avouer. Il soupira avant de regarder la femme en face de lui.

"En tout cas, le niveau a bien diminué ici. S'en est désolant. Quand je pense que c'est toujours ce viellard qui est à la tête de cette "ancienne" prestigieuse école."

"Premièrement je n'ai pas décidé de voyager dans le temps. Deuxièmement cela ne vous regarde pas... Je ne vois pas pourquoi cela vous intéresse tant!"

Oui, bon, c'était normal. Il ne la connaissait pas depuis assez longtemps pour se laisser aller et lui confier ses petits secrets. Il fallait donc lui signifier qu'il n'avait rien à craindre. Et il fallait également trouver un moyen de le ramener chez lui. Qui sait si le maître n'avait pas déjà fait ce voyage dans le temps et s'il ne se souvenait pas comment faire. Sauf qu'il ne semblait pas être de cet avis.

"Je ne vous fais pas confiance."

*Sans blague*

Avec ce regard, Serya avait deviné que ce garçon se demandait ce qu'il faisait là.

"Oui, je comprends. Bon et bien je n'y peux rien... Cependant c'est bien dommage. En plus d'être la seule personne en qui vous pouviez avoir confiance, je souhaitait vous présenter à votre vous futur mais bon. J'irais seule dans la forêt ce soir, voilà tout..."

Serya avait dit cela avec un faux air d’indifférence et une fois retournée, un petit sourire malicieux était apparut sur son visage. Elle savait que la possibilité de rencontrer Lord Voldemort allait attirer le jeune Tom Jedusor.

"Oui, je comprends. Bon et bien je n'y peux rien... Cependant c'est bien dommage. En plus d'être la seule personne en qui vous pouviez avoir confiance, je souhaitait vous présenter à votre vous futur mais bon. J'irais seule dans la forêt ce soir, voilà tout..."

Cette information intéressa le garçon pendant un instant. C'est vrai que rencontrer son lui futur pourrait s'avérer son « lui futur » pourrait s'avérer être instructif. Il verrait ce qu'il sera plus tard. Et si cela ne lui plaît pas, il pourrait toujours changer le cours de son destin. Mais d'un autre côté rien ne lui prouvait que la femme devant lui connaissait son lui futur. Elle n'avait pas l'air digne de confiance. Et puis d'après ce qu'il savait, il était recherché et très célèbre. Donc pourquoi viendrait-il à Poudlard prendre des risques inutiles ? Serya le prenait sûrement por un imbécile. Quoique avec elle, il valait mieux se méfier. Cette fille n'était vraiment pas nette. Mais c'est vrai que sa proposition était alléchante pour quelqu'un comme Tom. Après tout, si elle essayait de le manipuler ou quelque chose comme ça, il pourrait toujours se venger. Il prit un ton indifférent et hautain, comme à son habitude et la regarda froidement.

« Très bien, j'accepte votre proposition. »

Il prit un temps, choisissant ses mots avec minutie puis reprit le même ton.

« Et je tiens à vous avertir que si jamais vous avez dans l'idée de me manipuler ou me tendre un piège je ne serais pas aussi aimable que maintenant. Car bien que vous soyez vous aussi Fourchelang, aussi médiocre soit-il, vous ne faîtes pas le poids face à moi. Utiliser le sortilège Doloris sur vous ne me pose aucun problème. J'espère m'être bien fait comprendre. »

Le pire c'est qu'il disait tout ça sur un ton calme et posé, comme si il annonçait la météo. Et il était même capable d'annoncer un décès sur ce même ton.

« Si ces conditions vous vont, allos-y »

« Très bien, j'accepte votre proposition. »

Là ça devenait vraiment intéressant! Elle l'avait fait craqué. Elle avait piqué sa curiosité. Elle avait eu une petite victoire sur un grand personnage. Serya s'est alors retourné avec le même sourire de malice dissimulé derrière une grande satisfaction personnelle. De nos jours, il lui arrivait de pouvoir demander certaines choses au maître des ténèbres mais le faire avec son jeune lui était très agréable.

« Et je tiens à vous avertir que si jamais vous avez dans l'idée de me manipuler ou me tendre un piège je ne serais pas aussi aimable que maintenant. Car bien que vous soyez vous aussi Fourchelang, aussi médiocre soit-il, vous ne faîtes pas le poids face à moi. Utiliser le sortilège Doloris sur vous ne me pose aucun problème. J'espère m'être bien fait comprendre. »

On aurait dit le même que celui que Serya connaissait.... mais en plus énergique et bien plus mignon. Bien sûr qu'elle savait ce qu'elle risquait mais que voulez-vous. Sullivan adore n'en faire qu'à sa tête. De quoi lui attirer quelques ennuis mais pour l'instant elle n'en avait pas.

« -Oui, parfaitement. Cependant j'avais espéré que vous aviez compris que j'avais l'habitude de vos menaces. Enfin, de celle de votre futur. Mais le message est passé et vous avez ma parole que je ne ferais rien qui puisse vous nuire. Et si cela vous intéresse, ce sortilège ne m'est pas tout à fait inconnu... Mais bon.
- Si ces conditions vous vont, allons-y
-C'est parti! Oh, et évitez de vous faire remarquer comme Jedusor. Certains collaborateurs ne sont pas très fiables. Il faudra vraiment que vous changiez cela! »

Après cela, elle l'a laissé passer devant elle avant de fermer la salle et de l’emmener dans la forêt. Cette soirée promettait d'être passionnante!